En observance du « Dry January », une période pendant laquelle des personnes à travers le monde s’engagent à ne pas consommer d’alcool, Carla Bruni a partagé son expérience personnelle avec ses addictions lors d’une entrevue dans le podcast « Contre-addictions ».
Carla Bruni révèle avoir expérimenté le tabac et l’alcool pendant son adolescence. « J’appréciais cette légère ivresse », explique-t-elle. « Le problème, en tant qu’addict, c’est que je ne m’arrête pas à cette légère ivresse. Ainsi, je me trouve contrainte d’arrêter l’alcool. J’ai pratiquement abandonné la cigarette. À l’âge de 55 ans, j’ai l’impression d’avoir été une adolescente ignorante de 14 ans et désormais, je me sens bien plus informée. »
Cependant, elle admet boire encore « une petite bière » de temps en temps, notamment avant de monter sur scène. « Il est important de profiter de la vie, mais sans excès », souligne-t-elle.
Son mari, Nicolas Sarkozy, est un soutien précieux dans sa démarche. « Il m’aide à modérer ma consommation parce qu’il ne boit pas », précise-t-elle. « Il n’a jamais bu de sa vie et n’a pas l’intention de le faire à son âge. Ce n’est pas un grand adepte du lâcher-prise, tandis que moi… nous ne sommes pas les mêmes prototypes ! »
Au cours de cette interview, la star partage également son expérience avec une autre addiction dont elle a réussi à se libérer : celle au sucre. « Sans surveillance pendant mon enfance, je devais boire 30 à 40 Coca-Cola par jour. Et je ne suivais pas un régime alimentaire normal, me nourrissant uniquement de pastilles, de boîtes de Valda », des pastilles à la menthe. « J’ai commencé par là. Et ensuite, très rapidement, le tabac, qui est présent dans ma famille, donc ils n’ont rien pu me dire. Ensuite, l’alcool. J’ai peu exploré la drogue, car en réalité, je n’aime pas trop altérer ma perception des choses. »
